En 1815, le jeune Edmond Dantès voit sa vie brisée par un complot
			qui lui vaut d'être enfermé quatorze ans dans l'un des 
			culs-de-basse-fosse du Château d’If. Edmond réussit à s'évader grâce
			à l'aide de l'abbé Faria qui lui révèle le secret d'un trésor caché.
			Doté de cette fortune, Edmond Dantès revient sur les lieux de son 
			passé sous le nom du Comte de Monte-Cristo, afin d'accomplir sa
			vengeance.
			
		
		 
		  
			 
			Même s'il n'a pas eu l'occasion d'en voir beaucoup, c'est l'un des 
			meilleurs films de cape et d'épée nous avoue un des spectateur : 
			"J'ai été très agréablement surpris par un film que je trouve 
			incroyablement efficace ! C'est vraiment une espèce d'Indiana Jones
			à la Française, filmé avec un rythme endiablé, avec des moyens 
			considérables, des figurants dans tous les coins, des décors 
			incroyables, un monde fou. On ne s'ennuie pas ! Pierre Niney est 
			incroyablement crédible en gentil garçon amoureux, souffrant dans 
			une prison épouvantable et voulant se venger par tous les moyens, 
			autant que j'ai cru à Anaïs Demoustier. Il y a une espèce de trame
			romantique qui m'a séduit."
			De notre coté notre équipe à été completement sous le charme, ce film
			rappel que la France peut faire des productions aussi ambitieuses
			qu'aux Etats-unis. Nous avons tellement aimé ce film que nous y sommes 
			retourné 3 fois !!
			
		 
		
		
			
			La critique pour Causette regrette que le film n'apporte rien par 
			rapport au roman dont on ne retrouve pas la poésie romanesque 
			typique de Dumas : "Ce n'est pas si mal, mais ce n'est pas si bien 
			que cela non plus. Le film est un peu plus faible que le livre. 
			Ce qui est plutôt réussi, c'est tout ce qui concerne la direction 
			artistique, les costumes, les décors, le maquillage — qui est
			souvent le maillon faible dans les grosses productions françaises. 
			Le récit mêle plein de métamorphoses, des mensonges et des
			trompe-l'œil qui sont plutôt bien réussis, mais il y a beaucoup 
			de maladresses, à commencer par le fait que les personnages sont
			beaucoup trop unidimensionnels, soit très gentils, soit très
			méchants, et manquent d'être façonnés par l'atmosphère fantastique, 
			sombre et étrange qu'on ne retrouve que chez Dumas. 
			Le film joue plutôt la carte du romantisme, mais sans 
			la poésie propre au roman".
			
		
		
		
			
			La journaliste cinéma pour Le Monde avait un peu peur qu'après 
			"Les Trois mousquetaires", le réinvestissement cinématographique 
			des romans de Dumas gâche leur adaptation, mais elle a été très 
			agréablement surprise par un film qui tient à tous ses acteurs :
			"Je trouve plutôt réussie cette réadaptation, faite de modestie,
			avec des personnages extrêmement fidèles à Dumas. Les acteurs avaient 
			conscience qu'ils ne feraient pas mieux que Dumas, mais tiennent 
			parfaitement bien en respect le texte que je trouve parfaitement 
			réussi et qui tient à la fluidité. Le film arrive à être à la fois 
			ambitieux et modeste, populaire et bien ouvragé."
			Nicolas Schaller applaudit une réadaptation très digne
			
		
		
		
			
			Trois heures, c'était même trop court aux yeux du critique de L'Obs : 
			"La durée du film n'est pas suffisante pour embrasser la densité 
			romanesque de Dumas et le destin tragique du personnage, mais les
			personnages sont construits de manière très maline, 
			très universelle et contemporaine. On y retrouve un très 
			joli dialogue et de très bons acteurs, c'est vraiment beau à voir.
			Une résurrection que je trouve très digne, et dans laquelle on ne
			s'ennuie jamais".